Les outils utilisés
La libération émotionnelle
Une émotion dure 1min30. Sans écoute de celle-ci, elle se cristallise dans le corps de manière plus ou moins marquante, pouvant passer inaperçue ou aller jusqu'à provoquer une pathologie par le processus de somatisation.
En passant, de manière consécutive par le biais de la visualisation, de souvenirs aux ressentis corporels associés, cette méthode permet de désenkyster les charges émotionnelles et croyances stockées depuis des années. Elle amène ainsi à soulager d'anciens traumas et à sortir des schémas répétitifs dans lesquels l'individu s'inscrit sans même s'en rendre compte.
La clarification de relation
Toujours grâce à la visualisation, cette fois-ci il s'agit d'assainir certaines relations marquantes de nos vies. Il peut-être alors question de mettre de la lumière sur les dettes de vie qui nous lient à nos parents par exemple, mais aussi de retrouver son espace sécurisant dans lequel l'autre a parfois fait intrusion. Il existe de nombreux contrats de fidélité dont nous n'avons parfois aucune idée et qui prennent fréquemment racine au sein du transgénérationnel.
Le poids de l'inconscient et de ce dont il nous préserve prend au cours des séances tout son sens.
Alors pourquoi ne pas en finir avec les fardeaux qui initialement ne nous appartiennent pas, mais que nous continuons bien souvent de porter sans même le réaliser ?
Les lignées
Il est ici question d'identifier des mémoires/blessures qui se répètent dans les lignées notamment du fait de contrats de fidélité inconscients. Nos ancêtres conditionnent d'une manière ou d'une autre notre vécu, à travers les programmes et croyances que nous avons intégrés. Il peut être question de mémoires de manque financier, de deuils d'enfants morts jeunes, de violences physiques, de dépossession, de maltraitance parentale ...
Une fois la (ou les) lignée(s) convoquée(s) en visualisation, une série d'échanges ont lieu afin, à terme, de libérer l'individu du fardeau transgénérationnel qu'il portait.
Le deuil
Le processus de deuil (d'un lieu ou d'une personne) peut prendre des années et suit des étapes bien précises. Toutefois, il est possible d'amener un peu de sérénité sur cet élément incontournable de la vie en se délestant de ce que notre mental raconte de l'histoire. Il n'est alors pas question d'oublier l'être aimé ou l'espace sécurisant que l'on a connus, mais bien au contraire d'enrayer l'histoire pénible qui défile en boucle et alimente la tristesse ressentie.
La réintégration de part
Il arrive qu'au court de notre vécu les événements que l'on rencontre induisent des traumas. Face à un événement difficile, par amour pour nous, une part de nous va se dissocier afin de nous protéger. Cette part figées depuis un espace temps qui remonte parfois à loin peut avoir tendance à réactiver nos blessures lorsqu'il s'agit d'être confronté à une situation similaire.
Une part blessée peut être par exemple le petit garçon en nous de 5 ans qui s'est fait voler son vélo, ou bien encore la femme que l'on était à 32 ans qui a connu la maladie.
Nos parts blessées sont réactivés dans les schémas répétitifs que nous connaissons tant, et nous faisons alors preuve de réactions disproportionnées.
Lorsque vous surréagissez, il y a de fortes chances pour que l'enfant que vous étiez ait été laissé dans un coin seul avec ses émotions.
Il est alors utile de réintégrer ces parts, afin de s'apercevoir bien souvent que nous avons désormais les ressources nécessaires pour faire face à ces situations.
Et bien d'autres encore ...